22/02/2009

Entretien avec Alan - Partie 1 : l'enfance

Urandir en train de tordre une pièce en métal


Ceci est la première partie d'une série de posts qui sera publiée jusqu'à notre séminaire de mars 2009. Il s'agit d'une interview d'Alan effectuée en 2006. Alan va venir du Brésil en mars pour faire des travaux énergétiques avec nous.


Bonne lecture !


Mon nom est Alan, je suis le fils d’Urandir (voir les vidéo ici et ici). Je suis ici pour raconter quelques unes de mes expériences.

Bon, mon histoire, comme celle de mon père ou de mon frère, est très… différente de la norme. Parce que, depuis qu'on est petit, mon frère et moi voyons mon père faire des choses différentes, des choses qu’on ne comprenait pas, mais on savait qu’elles étaient, comment dire, bonnes. En fait, on sentait simplement quelque chose de bon, de tranquille, d'agréable, on voyait que les gens autour de lui étaient contents. Les enfants ont cette sensibilité.

La première fois que j’ai vraiment vu mon père faire un phénomène, j’avais plus ou moins 6 ans. On dormait avec mon frère dans le couloir de notre maison, parce qu’en fait cette maison était très petite, vraiment très petite. En pleine nuit, mon frère et moi avons commencé à sentir un truc différent. Tout à coup, la porte de la chambre de mes parents s’est ouverte et une silhouette complètement lumineuse est apparue. Mon frère était tranquille, il disait :

- « C’est papa ! Regarde : c’est papa ! »

Moi je hurlais :

- « Non, c’est un fantôme ! C’est un fantôme ! » Parce que j’avais vu plein de dessins animés qui montraient les fantômes comme ça.

Je me suis caché le visage sous ma couverture, tandis que mon frère essayait de me calmer.

Mon père n’a jamais été du genre à dire : « Assieds-toi petit, on va parler », il a toujours fait comme si on savait ce qui se passait sans qu’il n'ait besoin d'expliquer quoi que ce soit. Alors, il s’est juste approché et a dit : « Ouais, c’est moi », avec son corps tout éclairé. Y'avait aussi plein de lumières qui tournaient dans sa tête. Le plus intéressant, c’est que c’était pas juste sa peau qui était lumineuse, comme si on voyait son aura. En fait, c’était aussi à l’intérieur, tout son squelette, ses os qui étaient lumineux. Quand il ouvrait la bouche, y’avait plein de lumières qui en sortaient.

A l'époque, il travaillait beaucoup l’énergie de la kundalini. Il s’entrainait à faire ce genre d’illuminations afin de commencer à accomplir sa mission. C’était pour prouver aux gens qu’il existait réellement quelque chose de différent. Il a voulu nous montrer ça pour qu’on s’y habitue et qu’on apprenne à gérer ce genre de choses alors qu’on était encore tout jeunes.


A partir de là, des millions de choses se sont produites. Mon père tordait des cuillères… Il ne contrôlait pas encore ce genre de choses, alors des fourchettes se cassaient pendant qu’on mangeait. Nous, on s’est habitué. Il nous faisait plein de blagues. Au début, on pensait que c’étaient des tours de magie, sauf qu’en grandissant, on a réalisé que les tours de magie ne permettent pas de faire certaines choses telles qu'avoir une boule de lumière dans la main ou alors faire disparaître un truc du lit et le faire réapparaître sur la table.



Donc, en grandissant, on a vu qu’il y avait un truc bizarre, pas tout à fait normal, tout simplement parce que personne d’autre ne savait faire ça. Moi, je demandais à mes copains :

- « Qu'est-ce que votre père fait quand il joue avec vous ? »

Et ils me répondaient :

- « Moi, mon père me prend avec un seul bras et me soulève bien haut ».

Moi, mon père il ne faisait pas ça.

Et mon père, comme je viens de le dire, ne nous a jamais dit : « Tu sais, la vie est comme-ci, la vie est comme ça ». Il s’est contenté de nous ouvrir la voie : « ah, tu veux faire ça ? Et bien fais-le ». Mais il a toujours fait ça de façon très subtile, toujours très subtile. C’était même la meilleure façon de nous apprendre quelque chose. Parce que, nous, on apprenait seul à faire les choses, sans que quelqu’un d'extérieur... Il ne s’est jamais mis dans une position supérieure en voulant contrôler la vie de qui que ce soit. Il n’a jamais eu besoin de dire : « ne fais pas ça ». Mon père n’a jamais dit ce genre de choses. Il nous disait juste : "vas-y, fais-le. Mais tout ce qu’on fait a des conséquences..."

Dans cette vie, on a quand même une certaine chance, parce qu’on peut corriger ce qu’on fait de mal [ça n’est pas reporté sur nos vies futures vu que nous sommes arrivés à la fin de ce cycle]. Dans les autres dimensions, la 4ème, la 5ème, il suffit de penser quelque chose et ça se produit, on n'a pas le temps de corriger ses erreurs. Ici non. Ici, tout ce qu’on peut faire, tout ce qu’on veut faire, on le fait, parce qu’on a encore le temps de corriger nos erreurs. Vite fait, mais on peut.

Alors, on a commencé à se préparer subtilement avec mon père.

Aujourd’hui je comprends cela, parce que moi aussi je fais ça. Je ne vais pas voir quelqu’un en disant : « Ecoute, ça c’est bien et ça c’est nul ». Je dirais plutôt : « Ok, continue sur ce chemin, sauf que tu peux voir les choses autrement. Tu peux voir les choses comme ça par exemple ».

Faut que ça soit subtil, parce que quand tu es très radical, tu effraies la personne. Tu fais en sorte qu’elle commence soit à t’aimer très fort, soit à vraiment te détester. Notre père nous a donc appris à avoir ce ton modéré avec les gens. Arriver, rester tout calme, aider les gens sans même qu’ils s’aperçoivent qu’ils sont aidés. Et ça, c’est la meilleure chose qui existe…. C’est ça qui fait que je suis heureux. Je m’en fous que les autres remarquent que j’aide ou que je n’aide pas. Moi, je veux seulement voir la personne en train d’être aidée sans même le percevoir.

Si tu es hyper radical et que tu dis à quelqu’un : « écoute, ça, il faut plus le faire ». Et bien la personne ne va voir aucun intérêt au fait de changer. Elle va dire : « Oui, c’est mieux », mais elle ne va pas vraiment comprendre pourquoi c’est mieux pour elle. On ne respecte pas son libre-arbitre, ses décisions. A l'inverse, on peut lui montrer d’autres chemins et elle va décider seule ; elle va changer seule en sentant les choses par elle-même. Voilà.



Partie 1

Partie 2

Partie 3

Partie 4


12/02/2009

Arriver à changer (2)

Lumière de vacances...
Photo Trekearth


La pensée, le désir et la volonté sont les 3 leviers permettant de changer notre modèle vibrationnel / notre énergie.

Beaucoup de philosophies et de courants spirituels mettent l'accent sur la pensée positive. Or, s'il est vrai que le fait de penser positif est un ressort très puissant de changement et de bien-être, il faut ajouter que la pensée positive n'est qu'un élément du changement. En effet, certaines personnes pensent toujours positif, mais ne génèrent pas la fréquence de volonté nécessaire à la réalisation des événements dans la 3ème dimension.

La pensée crée quelque chose, elle est une potentialité ; c'est elle qui cimente le changement. Malgré tout, elle reste abstraite : ce n'est qu'un souhait qui a besoin d'autres supports pour se matérialiser (voir exemple plus bas).

Le désir transforme les pensées en une énergie subtile. Contrôler son désir est réellement un défi car c'est lui qui reflète nos peurs, craintes, angoisses, incertitudes et conflits intérieurs. Or, si l'on doute, on ôte son support et sa force à l'énergie de changement.

Enfin, c'est la volonté qui concrétise les énergies dans la 3ème dimension.
Notre volonté de résoudre les choses, de trouver des solutions à nos problèmes, de ne plus vivre telle situation négative, est ce qui provoque automatiquement un changement de vibration. C'est la volonté qui nous permet de nous plonger dans une énergie différente et de rompre avec celle qui nous paralyse, nous dérange ou nous plombe. Tout part de là.
Ce changement vibrationnel provoque un changement de trajectoire de vie. C'est cela qui détermine nos succès et nos échecs. Seule la volonté permet de concrétiser des choses dans la 3ème dimension.
Nous sommes tous capables de désirer, de vouloir et de réaliser !

Il faut avoir l'humeur (pensée - hémisphère droit du cerveau) et le mental (désir – hémisphère gauche) équilibrés pour la matérialisation (volonté – hémisphère frontal). Tous doivent vibrer pratiquement à la même fréquence pour maîtriser parfaitement les énergies.

Nous utilisons les hémisphères du cerveau pour organiser nos souhaits. Quand nous voulons quelque chose, il faut le faire. Peu importe que cela coûte cher. Il suffit de faire confiance aux énergies pour qu'elles travaillent en notre faveur. Ce n'est pas la peine de se demander si ça va marcher : il faut le faire, y croire sans en douter un seul instant.


Voici un exemple :
- Vous voulez voyager au mois d'août. Vous commencez à planifier ce que vous voulez faire, ce que vous allez acheter, où vous irez, comment vous voyagerez, ce qui va vous manquer, etc. A ce moment-là, vous êtes dans la pensée.
- Tout à coup, vous vous dites : « oui mais je n'ai pas l'argent pour faire tout cela. Je vais avoir besoin d'un nouveau travail, etc. ». Nous êtes passé dans le désir de combler ce qui vous manque (nouveau travail).
- Maintenant, si vous faites ce qu'il faut pour trouver un nouveau travail et que vous êtes bien en harmonie sur tous les plans, vous exprimer votre volonté qui correspond au moment présent.


Le travail de conscience est directement lié à la trinité et il est nécessaire pour parvenir à la maîtrise des énergies. Le changement de conscience remet en question toutes nos certitudes, notre manière de penser, nos désirs, notre volonté. Sans cet effort, il ne peut pas y avoir de résultat. Un tel questionnement peut aboutir à des périodes de "crise", d'énervement intense, de doute, etc. On peut se sentir perdu en raison de la perte de sens de nos anciens repères. Cette "crise de mutation" a la capacité d'apporter de nombreux changements si on a la volonté, l'humeur et le désir de la dépasser.

Cet effort ne peut venir que de nous, de la même manière que nous seuls pouvons apporter des réponses à nos questionnements. Le but de cette démarche est de rompre avec les dépendances et manipulations, et non de s'en remettre à des explications/conseils/avis extérieurs.


06/02/2009

Arriver à changer


Seconde vidéo de cette série.


Dans le post précédent, on disait qu'il n'y a pas de différence pour notre cerveau entre les pensées et les faits. Ce post ajoute que le temps n'existe pas non plus pour notre cerveau.

Notre cerveau ne connaît pas la différence entre le passé, le présent et le futur. Il ne sait pas la différence entre un événement réel, un fantasme ou une illusion. Concrètement, si nous repensons à un évènement heureux, nous recommençons à vibrer dans la vibration du bonheur et de la joie, même si la minute précédente nous étions préoccupés, malheureux ou stressés. Malheureusement, la plupart du temps nous sommes englués dans des vibrations qui nous plombent.

Certaines personnes passent leur vie entière à se lamenter que telle vibration est très mauvaise ou négative pour elles. Tant qu'elles se lamentent ("je ne peux pas", "je n'y arrive pas", etc.), elles maintiennent cette vibration négative active si bien qu'elles ne pourront que très difficilement la surmonter et réussir quoi que ce soit. À partir du moment où elles désirent être quelqu'un d'autre, débarrassé de ce problème, un changement mental et vibratoire fait en sorte qu'elles sortent automatiquement du chemin qui leur est négatif. Elles vibreront d’une façon qui correspond plus à leur désir du moment. Par conséquent, elles attireront vers elles de nouvelles personnes et situations qui les aideront à dépasser leur problème. Cette énergie de changement nourrit le changement. Quasiment tout le monde a déjà pu observer ce pouvoir mental.

Pour parvenir à réaliser ce petit miracle, le contrôle de la pensée est primordial. Le secret est de penser que nous allons réussir à changer sans en douter une seule seconde. La moindre pensée pessimiste, plombante, rabat-joie va à l'encontre de l'énergie de changement. Or, la plupart du temps, nous faisons des projections de ce que nous voulons mais, tout de suite après, on se demande si on va y arriver, on doute, on angoisse, on se met des limites et on se console d'avance de nos échecs. Ces seules pensées font en sorte que nous n'y arrivons pas ! Ces sensations servent de supports à ce qui va se produire. On annule le positif ! Ainsi, si vous pensez négativement à quelque chose, vous alimentez l'énergie négative.
Si vous percevez que vous êtes très angoissé par rapport à un changement, il suffit de vous dire "Je ne veux pas savoir, ça va marcher" et cette pensée négative sera totalement annulée. Si vous faites - à l'aide de votre volonté - cette transformation/ce recyclage, il ne restera qu'à peine une sensation de toutes les énergies négatives qui rodent dans votre champ vibratoire. N'oubliez pas: la volonté génère toute l'énergie de la neutralité. C'est ça la formule magique !


Il existe un autre outil mental pour nous aider à dépasser certains problèmes et à concrétiser le changement que l'on souhaite.

Avec le temps, nous pouvons apprendre à nous souvenir de nos états émotionnels passés, positifs et négatifs. Ainsi, nous savons quelles sont les fréquences émotionnelles qui nous aident ou celles qui nous gênent dans des situations précises : "quand est-ce que je suis arrivé à réussir le mieux certaines choses ? Quand j'étais heureux, triste, amoureux ?" En parvenant à les mobiliser au bon moment et avec suffisamment d'intensité, on augmente le contrôle de notre vie. Il n'y a pas besoin de revivre les événements qui ont provoqué ces états ; il suffit de repenser aux émotions pour que le cerveau pense revivre la situation et que nous libérions l'énergie requise.

L'objectif est de découvrir la meilleure fréquence - celle qui nous est la plus favorable. En se servant de cette fréquence, on peut agir directement sur le cours des événements de notre vie : il suffit de stopper les fréquences qui bloquent le changement et les remplacer par les fréquences qui l'accélèrent ou le débloquent.