25/04/2009

Sentir sans ressentir

Comment survivre à la tempête
si l’on oscille au moindre coup de vent ?



Pour manipuler les énergies, il faut être équilibré sur les plans énergétiques, émotionnels et spirituels sans quoi ce sont les énergies qui nous manipulent.
Notre développement mental est associé à notre équilibre intérieur. C’est ce qu’on appelle l’équilibre au sens large (physique, émotionnel, spirituel, mental). Tant que l’on n’a pas atteint cet équilibre, on reste à la merci de la vérité et des croyances d’autres personnes ou des média.

On appelle "énergies transportées" toutes les fréquences de tristesse, de colère ou d'angoisse qui pénètrent dans notre vie. Elles s'introduisent en nous via le champ émotionnel.
Si l’on intègre ces fréquences, on se sent triste, angoissé, énervé ou apeuré : on commence à vibrer comme elles.
Par exemple : une personne vient vers vous très énervée et cherche à se disputer avec nous. Si, à votre tour, vous commencez à vous sentir énervé et à vouloir vous disputer, cela veut dire que vous êtes entré dans cette fréquence de colère : la personne est parvenue à vous passer une énergie émotionnelle et vous vous êtes laissé manipuler.
Celui qui manipule/maîtrise les énergies réagira de la façon suivante : quand une personne cherche à provoquer une dispute, avant toute chose, il observera quels sont les déséquilibres dans sa fréquence. Il tâchera de comprendre ce qui cloche en gardant toujours du recul : il n'entrera absolument pas dans cette fréquence de dispute et de colère.
Bien-sûr, cela peut-être compliqué au quotidien parce que ces énergies viennent de toutes parts et que le champ énergétique peut être plus vulnérable par moments. C'est pour cela qu'il faut toujours veiller à avoir un champ émotionnel stable et équilibré. Comment survivre à la tempête si l’on oscille au moindre coup de vent ?

Pour poursuivre ce raisonnement, il faut s’arrêter un instant sur le mot "sensible". Beaucoup de personnes, en raison de leur forte capacité à sentir les énergies, parviennent difficilement à sentir sans ressentir.
Dans ce cas, la première solution est énergétique. Elle consiste à accélérer sa fréquence cérébrale pour "brûler" ces énergies, c’est-à-dire à faire en sorte que ces énergies ne les atteignent pas. On se crée une carapace énergétique permettant de garder le contrôle et la distance nécessaires pour ne pas se laisser embarquer par la moindre émotion ou le moindre sentiment.
La seconde solution pour ne pas se laisser déstabiliser par des remarques, des jugements, des événements, des oublis, des incompréhensions, etc. est plus une technique mentale. C’est le "je m’en fiche".

On peut apprendre à brancher le "je m’en fiche" pour faire face à un tas de petits ennuis qui viennent gêner notre quotidien et nous faire osciller. Par exemple :
- On sait que quelqu'un dit du mal de nous dans notre dos. Et bien, la meilleure arme dans ce cas est le "je m’en fiche". Le jugement des autres ne nous concerne pas.
- De même, on sait qu'on va passer la journée à travailler sur un dossier très ennuyeux. Idem, on s’en fiche. Si on doit travailler de toute façon sur ce dossier, il vaut mieux que ça soit dans un état de neutralité plutôt que dans l’énervement.
- On vient de perdre 20 euros bêtement en achetant un objet qui s'est cassé au bout de deux jours : on s’en fiche.
- Le prix du billet d'avion pour vos vacances a doublé d'un jour à l'autre : on s’en fiche. Ça ne sert à rien de s’énerver car notre énervement ne va pas changer le prix du billet.

Le complément indispensable au "on s’en fiche" est le "toujours faire de son mieux" (cf. Les Quatre Accords Toltèques de Miguel Ruiz).
Il ne faut pas saboter nos actions et nos efforts mais, au contraire, faire tout notre possible pour que tout ce que l'on entreprend soit couronné de succès. Bien sûr, il y a des jours où l’on peut plus que d’autres, mais qu’importe : l’important est de chercher à maîtriser et à diriger son énergie un minimum soit vers un objectif, soit vers l’équilibre émotionnel.
C'est pour cette raison que si finalement ça ne marche pas, on s’en fiche car on sait qu'on a fait tout notre possible pour que ça marche.
On ne branche le "on s’en fiche" que lorsqu’on ne peut rien faire de plus pour changer la situation.

On peut brancher le "on s’en fiche" et le "toujours faire de son mieux" dès le matin au réveil. Vous avez l'impression de vous être levé du pied gauche ? Ça vous est égal, la journée sera bonne quand même, vous ne vous laissez pas déstabiliser.


Moralité, ces outils sont des petits conseils très utiles au quotidien mais ce ne sont pas des recettes magiques :
Premièrement, ils demandent de faire de réels efforts pour se détacher des choses. Ce sont de vrais exercices de conscience.
Deuxièmement, il n’existe pas de règle absolue. Là aussi, il faut faire des efforts de conscience pour savoir, à chaque situation, s’il faut continuer à faire des efforts ou s’il faut brancher le "on s’en fiche". Parfois, il vaut mieux attendre tranquillement qu’une situation s’arrange au lieu de s’acharner sur elle pour tenter de la débloquer au forceps. A l’inverse, d’autres obstacles se dressent sur notre chemin pour tester notre persévérance… C’est à la conscience de chacun de décider quelle attitude adopter.

18/04/2009

L'accélération de la fréquence vibratoire

Pour garder une distance avec la réalité, le premier outil est le recadrage


Le négatif et le positif sont deux notions relatives : chaque personne possède son propre référentiel et a alors une idée unique et individualisée de ce qui est positif ou négatif pour elle et selon elle.
Au-delà de ces considérations, chacun peut tendre à s'éloigner de ce qu'il juge négatif et à se rapprocher de ce qu'il juge positif pour lui. Il existe plusieurs techniques pour cela.

L’une des plus efficaces consiste à ne pas se plaindre des choses que l'on juge négatives, afin d’éviter de les attirer et d’en contaminer notre entourage. Cette attitude demande une attention constante.
Ainsi, si l’on pense à des choses agréables, notre corps et notre esprit ne vont générer que des choses agréables (réaction psycho-chimico-physiologique : le corps sent physiquement nos pensées).

Tout cela est bien beau mais voilà : notre esprit est conditionné à ne penser qu'à des choses négatives. C'est pour cela que nous avons besoin d'une reprogrammation mentale immédiate. Les choses négatives fonctionnent comme une addiction, comme un vice dont on peut (heureusement) se détacher.

Il arrive aussi que l’on se sente gêné par des "énergies négatives". Dans ce cas, il n’est pas possible d’annuler la vibration que quelqu'un émet (ça irait d’ailleurs contre le libre-arbitre de la personne). En revanche, on peut annuler les effets de cette vibration sur notre énergie et sur nos vies en étant suffisamment stables énergétiquement pour ne pas se laisser déstabiliser, en transmutant ces énergies, etc.

Un autre moyen pour se détacher et se protéger des énergies "négatives" est de travailler avec une vibration très accélérée, c'est-à-dire avec une fréquence élevée (voir quelques conseils ici pour accélérer sa fréquence vibratoire).

Pour changer de dimension, il faut parvenir à vibrer à la fréquence la plus accélérée possible.
- Si nous mourrons, nous perdons cette fréquence accélérée physique et notre corps se décompose. Notre corps est fait d'une fréquence vibratoire que l'on appelle la vie. Cette fréquence est une spirale ; elle vient du monde spirituel et va vers les dimensions supérieures. C'est un cycle continu.
- Si nous accélérons nos ondes cérébrales, notre corps physique vibre durablement de façon accélérée. Notre condition physique est meilleure, notre esprit est plus rapide et plus agile, et on a constamment une humeur joyeuse.

La 4ème dimension vibre de façon tellement accélérée qu'elle est invisible à nos yeux. Notre rétine ne parvient pas à capter cette rapidité. C’est comme si on essayait d'observer les hélices d'un ventilateur en marche à l’œil nu.

Plus nos ondes cérébrales s'accélèrent, plus on parvient à percevoir comment fonctionnent- communiquent ces niveaux plus élevés/accélérés.

Enfin, voici le point le plus important : on ne peut pas accélérer l'anxiété ! Autrement dit, l'anxiété disparaît dès lors que notre fréquence est suffisamment accélérée.
L'anxiété est une énergie qui vibre lentement.
Lorsque que l'on perçoit en nous cet état, on peut faire l’effort d’immédiatement le laisser de côté et de se replonger dans une fréquence plus accélérée afin de ne pas se laisser manipuler par des basses fréquences (perte de contrôle de soi).
De même, lorsque l'on vibre à une fréquence suffisamment accélérée, on devient invisibles aux "esprits" qui voudraient nous manipuler.


11/04/2009

Entrainement à la paranormalité : Principes et Portée

Défricher nos sens pour percevoir l'essentiel

Remarque : Dans nos travaux, l’entrainement à la paranormalité va de paire avec un travail de conscience. Ce texte va montrer que ces deux processus sont intimement liés et demandent tous deux un effort individuel pour dépasser ses propres limites.


La télépathie permet de percevoir la fréquence et l'énergie des gens autour de nous. S’entrainer à la télépathie aide à surmonter une difficulté immense : parvenir à se comprendre. En effet, la plupart du temps, chacun interprète à sa manière ce qu'il entend, si bien que quasiment tout le monde perçoit les paroles et événements en fonction de son état émotionnel. Comment arriver à se comprendre dans ces conditions ?


Avec la télépathie, on apprend à percevoir ce que son interlocuteur veut réellement dire ; on arrive à mettre le doigt sur ce qui lui pose problème en se passant des mots.

Lorsqu'on fait attention aux émotions d'une personne, on peut remarquer que plusieurs questionnements émotionnels se superposent et camouflent la source du problème. Cette source existe la plupart du temps sous forme d'énergie et non de mots. Les émotions essaient de comprendre ce questionnement et de le résoudre, mais elles ne parviennent qu’à l'enfouir plus profondément. Ainsi, c'est davantage en laissant de côté les émotions que l'on peut se concentrer sur les vraies questions et avancer.

Lorsqu'on maîtrise la télépathie, on laisse de côté ce que la personne dit pour se concentrer sur ses vrais sentiments. On entre au cœur du sujet pour pouvoir établir une relation honnête et constructive. On se débarrasse de toutes les émotions qui bloquaient notre évolution.


Les émotions camouflent aussi bien nos véritables sentiments que nos facultés mentales : nos capacités paranormales sont enfouies en nous sous des strates d’émotions et de conditionnements.


On peut illustrer ce propos en prenant comme exemple la faculté de psychokinésie. Imaginez-vous un instant comme étant capable de bouger un objet avec la seule force de l'esprit. Y croyez-vous vraiment ? La plupart du temps, on est tellement conditionné à croire que 'nous en sommes incapables', que 'c'est impossible', que 'ça ne peut pas être vrai', que nous mettons en place notre propre censure. Et c’est ce qui se produit : nos facultés sont bloquées non pas parce qu’elles n’existent pas mais parce que nous ne croyons ni en elles ni en nous.


On peut entamer un cheminement différent et rompre avec toutes ces certitudes qui nous limitent. Cette démarche fait évoluer notre conscience car on se rend compte progressivement que la troisième dimension est une illusion. Cela nous aide à voir ce qui se passe au-delà du référentiel des émotions. C’est aussi pour cela que le contrôle émotionnel est tellement lié à la conscience et à la paranormalité.


Le contrôle émotionnel ne veut pas dire devenir froid et distant. Par exemple, si vous voyez une scène de misère qui pourrait vous briser le cœur, vaut-il mieux souffrir à plusieurs et se laisser déborder par les émotions ou tenter de trouver un moyen d'aider ceux qui souffrent afin de casser justement cette énergie de souffrance (donner un peu d'argent, un sourire, un coup de main, etc.) ?

Très souvent, les émotions affligent les personnes ; elles cachent les solutions ou le changement. Cela devient presque absurde quand on pense que la majorité de nos émotions sont causées par des souvenirs (énergies du passé que l'on projette dans le présent) et par des suppositions (énergies produites par notre imaginations, nos peurs, nos angoisses, etc.). Ce sont ces illusions qui nous limitent.


Ce blog cherche à faire passer le message que nous sommes différents de ce que nous avons toujours pensé être. On transmet des infos sur les facultés mentales, sur la conscience, le changement, les énergies, pour que toutes ces notions deviennent banales et pour réduire, au fur et à mesure, les limites que nous nous imposons.



Ceci étant dit, on passe à la pratique :


On peut s'entrainer à la psychokinésie en suspendant une fourchette à l’aide d'une ficelle et en essayant de la faire bouger sans la toucher (ni souffler !). On imagine de l'énergie partant de notre chakra frontal et allant en ligne droite vers la fourchette.


On peut s'entrainer à deux à la télépathie en devinant des numéros (entre 1 et 5, puis entre 1 et 10, etc.). Si on est seul, on peut essayer de savoir qui nous appelle avant de décrocher le téléphone. On peut prendre un jeu de carte et essayer de deviner à l’avance la couleur des cartes, leur signe, si c’est une figure ou un numéro, et enfin la carte exacte.


Pour que tous ces entrainements soient vraiment efficaces, le meilleur allié est la confiance en soi. Il faut être persuadé que l'on est capable de faire tout cela, que les facultés paranormales sont présentes en nous et qu'il suffit de les réveiller, que l'on va commencer à capter bien plus de choses autour de nous, que l'on va s'impressionner soi-même (le but n'est pas d'impressionner les autres, on est d'accord).

Tout ça suffit à nous débloquer !


Faites aussi attention à votre cœur. Laissez le rationnel de côté. Comme cela, vous parviendrez à accepter progressivement, à votre rythme, ces nouvelles réalités.



02/04/2009

Les miracles ne font jamais de croyants

Photos d'Adriana.
Merci à Bruno de nous avoir fait découvrir ce bel endroit !



Personnellement, les phénomènes visuels me laissent de marbre.
Je pratique des travaux d'énergie vibrationnelle depuis bientôt 6 ans et j'ai vu énormément de choses « au-delà du réel » (lumières, son, matérialisations diverses). Sur le moment, ça peut être marrant mais, si on s'arrête là, on se pose immédiatement après les questions suivantes :
"est-ce que l'on a vu est bien réel ?"
"est-ce qu'on ne l'aurait pas rêvé"

Si on reste trop dans le rationnel et qu'on laisse de côté l'intuition et le cœur, on risque de bloquer les énergies. Le travail des énergies ne demande pas d'adhérer à des croyances spécifiques. Ainsi, à partir du moment où le cœur est ouvert, les résultats des travaux énergétiques sont les mêmes que l'on croie ou non aux phénomènes visuels. Pour dire les choses autrement, ne pas accorder trop d'importance aux phénomènes permet d'être plus attentif aux résultats. C'est bien ça qui est important, non ? L'énergie fait alors son travail avec l'aide du temps.

Ce n'est pas pour observer des phénomènes visuels que je passe du temps à parler des énergies et à faire des travaux énergétiques. Ça ne change rien. Je répète toujours la phrase suivante d'un indien d'Amérique du Nord :


« Le plus grand miracle n'est pas quelque chose d'incroyable, ce sont les milliers de vie transformées. Les miracles ne font jamais de croyants. »

Frank Fools Crow, Chef cérémoniel des Sioux tetons Lakotas. Voix des sages indiens, Ed. Du Rocher, 1999, page 51.


Les choses qui créent et ancrent la motivation de faire des travaux énergétiques sont des changements d'énergies et des évolutions intérieures (conscience). On peut citer :

- les facultés extrasensorielles,
- le contrôle des émotions,
- la découverte de soi,
- la confiance en soi,
- l'harmonisation avec les lois de l'univers,
- le contrôle des lois universelles,
- la capacité de manipuler les énergies et non pas d'être manipulé par les énergies,
- la recherche de sa propre vérité,
- la quête pour aller vers la Lumière et non pas vers des mirages,
- etc.

Au final, il y a 1000 raisons différentes qui peuvent pousser quelqu'un à participer à une réunion de travaux énergétiques (santé, recherche spirituelle, phénomènes paranormaux, etc.). Mais seules l'Énergie et la Conscience le feront rester sur ce chemin. Les discours, les visions de phénomènes, les valeurs ou autres ne servent à rien si l'on veut que l'engagement soit pur et véritable. Les visions des phénomènes sont des manifestations de l'Énergie et non une finalité ou encore moins un vecteur de ralliement.

Le plus important est de garder en tête qu'il n'y a pas un unique chemin vers la Lumière mais une infinité. A chacun de choisir le sien.