Quand on a commencé à aller à la ferme Boa Sorte, on devait avoir 9 ou 10 ans. Mon père a dit à ma mère qu’il fallait qu’il aille dans le Mato Grosso do Sul car, dans un de ses rêves, il avait appris qu’il avait quelque chose à faire dans cette région. Quoi qu’il se passe, ma mère le soutenait, elle était toujours de son côté. C’est ainsi qu’il a commencé à accomplir sa mission.
Après ça, on a commencé à aller régulièrement dans le Mato Grosso do Sul. Là-bas, on restait dans une maison en bois, dans des tentes, on cuisinait au feu bois. A l’époque, à cet endroit, y'avait juste une forêt épaisse, des buissons et des herbes hautes. On campait à 3 km de la colline principale. On grimpait tout en haut de cette colline pour avoir des conversations avec des partenaires d'autres mondes ou pour voir mon père avoir des conversations. Oui, ça, ces conditions de vie étaient vraiment dures.
Un jour, mon père a dit au propriétaire de ces terres :
- « Écoute, j’aimerais bien acheter tes terres mais je n’ai pas d’argent ».
Le mec l’a regardé en rigolant :
- « Tu veux acheter mes terres mais tu n’as pas d’argent ? »
- « Oui, exactement »
- « Et bien c’est d’accord. Je te donne mes terres et tu me paieras plus tard quand tu pourras ! » [Rires]
Au final, mon père a tout remboursé.
C’était bien cool, le mec a fait confiance :
- « J'ai senti un truc de bon par rapport à toi, prends mes terres ».
A l’époque, mon père essayait de bosser pour gagner un peu d’argent, sauf qu’il n’a jamais réussi à "manipuler" très bien l’argent. L’argent n’a jamais été son copain [rires] ! Il a toujours donné de l’argent aux autres personnes. Pour ça, il est merveilleux. Ça explique pourquoi il n’y a jamais eu d’énormes changements dans sa vie personnelle : il n’a jamais eu une maison top ou un bon lit. Il est toujours resté très simple et ça ne l’a jamais gêné. Ce qui fait qu'on n’a pas été élevé dans un "berceau doré". En fait, on peut dormir dans n’importe quel trou, on ne fait aucun caprice.
Déjà à cette époque, je voyais souvent mon père parler à des hommes tout blancs. Moi, je ne comprenais pas trop la différence entre eux et nous. La plupart du temps, ça se passait à côté de la maison à Sao Paulo, dans le jardin, sur le balcon. Ou alors c’était juste une boule de lumière à l’intérieur de la maison.
Ensuite, mon père est allé à Rio de Janeiro. Il y a fait des soins et des phénomènes pour rassembler un certain nombre de personnes autour de lui [créer une énergie de groupe].
Quand on était à la ferme, mon père commençait à nous guider, il disait :
- « Tu peux aller par là et il va se passer un truc chouette ».
Alors on y allait et on rencontrait une intelligence venue d'une autre dimension.
Ensuite, il nous a dit :
- « Y’aura un moment où je vais commencer à ne plus vous donner d’indications et où vous vous débrouillerez seuls, vous allez commencer à discuter avec ces gens avec qui je parle ».
Et ça s’est produit.
On a commencé à parler à des intelligences. Au début, on avait quand même peur, c’est clair. C’est seulement quand j’ai compris qu'ils n'étaient pas terrestres que j’ai commencé à avoir peur. J’ai pensé : « Mince, ils ne viennent pas d’ici, de la planète Terre ! C’est quoi ces bêtes ? » Là, j’ai eu peur. Quand je pensais que c’était juste des personnes un peu différentes avec qui mon père discutait, pour moi c’était normal.
Après ça, on a commencé à aller régulièrement dans le Mato Grosso do Sul. Là-bas, on restait dans une maison en bois, dans des tentes, on cuisinait au feu bois. A l’époque, à cet endroit, y'avait juste une forêt épaisse, des buissons et des herbes hautes. On campait à 3 km de la colline principale. On grimpait tout en haut de cette colline pour avoir des conversations avec des partenaires d'autres mondes ou pour voir mon père avoir des conversations. Oui, ça, ces conditions de vie étaient vraiment dures.
Un jour, mon père a dit au propriétaire de ces terres :
- « Écoute, j’aimerais bien acheter tes terres mais je n’ai pas d’argent ».
Le mec l’a regardé en rigolant :
- « Tu veux acheter mes terres mais tu n’as pas d’argent ? »
- « Oui, exactement »
- « Et bien c’est d’accord. Je te donne mes terres et tu me paieras plus tard quand tu pourras ! » [Rires]
Au final, mon père a tout remboursé.
C’était bien cool, le mec a fait confiance :
- « J'ai senti un truc de bon par rapport à toi, prends mes terres ».
A l’époque, mon père essayait de bosser pour gagner un peu d’argent, sauf qu’il n’a jamais réussi à "manipuler" très bien l’argent. L’argent n’a jamais été son copain [rires] ! Il a toujours donné de l’argent aux autres personnes. Pour ça, il est merveilleux. Ça explique pourquoi il n’y a jamais eu d’énormes changements dans sa vie personnelle : il n’a jamais eu une maison top ou un bon lit. Il est toujours resté très simple et ça ne l’a jamais gêné. Ce qui fait qu'on n’a pas été élevé dans un "berceau doré". En fait, on peut dormir dans n’importe quel trou, on ne fait aucun caprice.
Déjà à cette époque, je voyais souvent mon père parler à des hommes tout blancs. Moi, je ne comprenais pas trop la différence entre eux et nous. La plupart du temps, ça se passait à côté de la maison à Sao Paulo, dans le jardin, sur le balcon. Ou alors c’était juste une boule de lumière à l’intérieur de la maison.
Ensuite, mon père est allé à Rio de Janeiro. Il y a fait des soins et des phénomènes pour rassembler un certain nombre de personnes autour de lui [créer une énergie de groupe].
Quand on était à la ferme, mon père commençait à nous guider, il disait :
- « Tu peux aller par là et il va se passer un truc chouette ».
Alors on y allait et on rencontrait une intelligence venue d'une autre dimension.
Ensuite, il nous a dit :
- « Y’aura un moment où je vais commencer à ne plus vous donner d’indications et où vous vous débrouillerez seuls, vous allez commencer à discuter avec ces gens avec qui je parle ».
Et ça s’est produit.
On a commencé à parler à des intelligences. Au début, on avait quand même peur, c’est clair. C’est seulement quand j’ai compris qu'ils n'étaient pas terrestres que j’ai commencé à avoir peur. J’ai pensé : « Mince, ils ne viennent pas d’ici, de la planète Terre ! C’est quoi ces bêtes ? » Là, j’ai eu peur. Quand je pensais que c’était juste des personnes un peu différentes avec qui mon père discutait, pour moi c’était normal.
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