30/01/2009

Lorsque le corps sent la pensée


Vidéo d'un travail de Plasma.
Amener notre pensée à comprendre que tout est possible...


La plupart des personnes faisant ce test ressentent du vertige en marchant sur le pont, l'eau à la bouche en mordant dans une grosse glace crémeuse (à la vanille, hum...), des frissons en croquant dans le citron et mal aux dents en imaginant celles-ci râpées.


Tous ces exemples sont la preuve que notre corps ressent ce que nous pensons. Même s'il n'y avait aucune glace prête à être dévorée, beaucoup de gens commencent à saliver comme s'ils s'apprêtaient à en déguster une.

Il est intéressant de remarquer que si une situation nous touche, nous éprouvons un plaisir ou une frayeur correspondant au type de pensée émise. Par contre, si elle ne nous fait ni chaud ni froid, et bien le corps ne sentira pas les sensations. Par exemple, quelqu'un qui n'aime pas les glaces mais qui a une phobie des petites bêtes ne ressentira rien en imaginant la première mais aura des sueurs froides et ses jambes qui piquent en imaginant une invasion de rats et de cafards dans son lit.

On appelle ça la réaction psycho-chimico-physiologique. Cela désigne le fait de traduire une pensée en une réaction de notre corps physique.

Dans ce cas, cette expérience a été menée de façon consciente. Or, ce genre de réaction se produit 24h/24 dans notre vie émotionnelle : nous nous faisons continuellement des petits films dans notre tête et y réagissons avec des sensations comme s'ils s'agissaient de situations bien réelles. Pour notre cerveau, faire et penser produisent les mêmes effets.
Ce mécanisme peut apporter le meilleur et le pire. Lorsque nous passons nos journées à nous dévaloriser, à regarder à la télévision des choses horribles, agressives et agressantes, nous émettons une charge électrique qui sera emmagasinées par nos cellules. Ces énergies restent en nous et déforment négativement notre regard sur le monde.

Donnons un autre exemple : nous sommes conditionnés à penser que les actes paranormaux sont impossibles, que nous n'avons pas de dons, que peut-être que d'autres peuvent casser des assiettes mais que nous n'y arriverons jamais. Ce genre de pensée est très ancré en nous et suffit à bloquer notre paranormalité.

Ici, ce type de pensée est le pire ennemi de notre corps (attention, ne pas confondre pensée, esprit, intelligence, connaissance, raison, etc. Ici, on parle des créations mentales, c'est-à-dire des pensées créées dans notre tête. C'est l'opposée de la pensée positive créatrice de miracles). Certains courants spirituels recommandent de ne plus penser. Nous pensons plutôt qu'il faut parvenir à contrôler sa pensée pour pouvoir canaliser et mettre à profit notre pouvoir mental. Passer de la destruction à la création/construction. Imaginons tout ce que nous pouvons faire de bien pour nous et pour les autres en recyclant positivement cette force. Le contrôle de l'esprit est la condition indispensable au développement de la paranormalité. Quand vous contrôlerez ce que vous pensez, vous pourrez contrôler tout ce qui vous entoure.


Merci à Charles !!


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