27/09/2009

Un exemple d'activité énergétique

Photo prise ce week-end lors d'un travail énergétique


Voici un témoignage de O. datant d’il y a 4 ans.

Le 11 novembre 2005, quelques participants de notre groupe sont partis en Haute Saône pour chercher une petite ville appelée "La Rochelle". Ils croyaient, en se basant sur leur intuition, qu’il fallait trouver un endroit là-bas pour faire des travaux énergétiques, mais ils ne savaient pas exactement où.
Le jour du voyage était une belle journée d’automne avec un ciel bleu et dégagé. Juste au moment où ils sont arrivés à l’entrée de la petite ville, un brouillard épais s’est abattu sur la route à prendre. Là, L a dit qu’ils allaient recevoir cinq signes pour trouver l’endroit exact où faire les travaux. Le premier signe serait un oiseau.

En avançant sur la petite route vers La Rochelle, tous ont remarqué un oiseau énorme qui volait à coté de leurs voitures, dans le brouillard. Ils l’ont interprété comme étant le premier signe. Ils ont continué leur chemin. Cinq minutes plus tard L, B et moi avons vu une cascade de lumière argentée très intense au milieu du ciel redevenu bleu. Comme il n’y avait pas de nuage, on l’a identifié comme étant le deuxième signe. On a commencé à tourner sur les routes aux alentours. Quinze minutes après, on s’est arrêté. On ne savait pas où aller et on cherchait le troisième signe. Nous nous sommes arrêtés sur une route de terre. Sans savoir quelle direction prendre, L est entré dans un bois et, en revenant vers la voiture, il nous a dit :
- "J’ai reçu une information des partenaires et ils ont dit qu’il faut trouver le chemin entre le vert et le marron pour le suivre."
On a trouvé cette information très floue et imprécise car tout est vert ou marron à la campagne. Nous avons décidé de rebrousser chemin. Cinq minutes plus tard, pendant qu’on discutait sur le chemin à prendre, un oiseau exactement identique au premier signe est apparu devant nous, posé sur une barrière en bois. Pour nous, c’était le troisième signe et qu’il nous indiquait qu’on était sur le bon chemin.

On a pris une route juste à côté, toujours à la recherche d’une direction entre des choses "vertes et marrons". C’est alors qu’on a réalisé qu’on se trouvait sur une route au milieu d’une plantation. Du côté droit, les plantes recouvraient encore la parcelle si bien que le sol était tout vert. De l’autre côté, la terre était nettoyée pour l’hiver, on ne voyait que du marron. On était sur un chemin qui avait le côté droit, tout vert et le côté gauche, tout marron. On savait qu’il fallait suivre alors cette route, mais on ne savait pas jusqu’où.

J’ai donc proposé de faire un travail de ligne du temps. L m’a dit : "Tu peux faire le travail ?" J’ai dit que oui et il L s’est éloigné de nous un moment. Le travail en question consiste à trouver ce qu’on appelle une ligne du temps. C’est une place avec un bruit et une vibration caractéristique. Pour ce faire, on s’est organisé en groupes alternant d’une façon déterminée les filles et les garçons. Avec cette configuration, on mentalisait qu’on voulait savoir quel chemin suivre. Une réponse physique devrait répondre à notre question. On a fait cela au milieu de la route parce que jusque-là, on n’avait pas croisé une seule voiture. Mais juste au moment où on a posé la question, un tracteur est apparu sur la route et l’a empruntée. On a été obligé s’écarter du milieu de la route. On se sentait gêné par ce tracteur. On pensait qu’il avait dérangé notre travail. Tandis que le tracteur suivait la route et passait devant nous, L m’a demandé : "Quelle était la question posée ?"
Je lui ai dit : "On a demandé un indice physique qui puisse nous indiquer le chemin."
Tout à coup, tout le monde a regardé le tracteur et s’est précipité en vitesse dans les voitures pour le suivre. On a considéré le tracteur comme étant la réponse à notre question.

On a suivi le tracteur. Il n’y avait plus de soleil et il faisait déjà presque nuit. Au bout de la route sur laquelle on était, il y avait cinq routes différentes. Une seule avait le panneau "Sens Interdit". Le tracteur a pris justement ce chemin et nous sommes passés derrière lui. Environ deux cents mètres plus loin, le tracteur s’est arrêté et on a continué seul sur cette nouvelle route. L a dit qu’il sentait qu’on pouvait chercher un endroit pour faire le travail. On a ralenti les voitures pour chercher une place. Il y avait plusieurs entrées à côté, mais on ne savait pas où entrer. Soudain, un groupe de vaches est passé au milieu de la route en la bloquant. On était obligé de prendre le premier chemin à droite. On a considéré cela comme le 4ème signe. Tout à coup on a vu quelques ultradimensionnels et L nous a dit qu’il pensait qu’on avait trouvé la place. On est sorti des voitures et puis on a pris des photos. Les ultradimensionnels sont apparus en grand nombre. L nous a alors tous positionnés à différents endroits du bois.

A suivre…

13/09/2009

Mentalisations

Photo Alex Korolkovas




Notre pensée peut prendre plusieurs formes différentes : elle est formée soit par des paroles, soit par des images mentales. Il y a pourtant une grande différence entre les deux mécanismes : seules les images mentales agissent sur le système glandulaire. Par exemple, les glandes salivaires s'activent lorsqu'on s'imagine mordre dans un citron ; en revanche, si on évoque le fait de croquer dans un citron sans s'imaginer quoi que ce soit, aucune manifestation physique ne se produira. C'est par l'intermédiaire de la mentalisation (création d'une image mentale) que la pensée contrôle le corps physique.


Ce petit constat très simple a un impact immense au quotidien.

Les êtres humains ont une grande tendance à verbaliser leurs pensées (promesses, espoirs, défis) tout en créant automatiquement des images mentales contraires. On prête généralement beaucoup plus attention aux paroles qu'aux images de la pensée. Ainsi, même si la pensée verbalisée est positive, les images produites sont très souvent négatives. Or, lorsque les images et les paroles mentales sont en opposition, ce sont toujours les images qui l'emportent. Si on ignore ce phénomène, la pensée positive risque de ne produire aucun effet notoire et concret sur nos vies.


La pensée positive est un concept fondamental, surpuissant et divin. Pourtant, nos tentatives de pensées positives sont souvent noyées par une masse d’images négatives. Ces images peuvent être produites par la peur du changement, de l’échec ou de la réussite. On se fixe un objectif qui reste lointain et on ne visualise que les obstacles qui nous en éloignent. Au final presque rien ne bouge, ce qui crée un découragement bloquant de surcroit la pensée positive. Le mécanisme inverse consiste à mentaliser (visualiser) son objectif. Au quotidien, il faut faire en sorte que cette image se rapproche de nous, qu’on parvienne à l’imaginer de plus en plus clairement, avec beaucoup de détails. Il faut concentrer et diriger son énergie pour concrétiser cet objectif, pour que la mentalisation deviennent réalité.

La pensée positive est véritablement efficace lorsqu'elle prend la forme d'images positives d'un objectif déjà accompli.


A partir du moment où l'on réussit à créer des images mentales et à mobiliser l'énergie produite par la transmutation des émotions, tout devient possible : on met tout en place pour réaliser nos objectifs. Ce sont les images qui mobilisent l’énergie vibrationnelle que nous produisons et stockons dans notre chakra frontal.


Un autre mécanisme s'ajoute à cela.

Pour mobiliser l'énergie vibrationnelle et s'en servir pour atteindre un objectif, il faut que l'image du résultat (mentalisation) soit traduite en un appel émotionnel. Autrement dit, il faut visualiser son objectif et se mettre dans l'état émotionnel de la réussite. Après avoir défini son objectif, l'avoir traduit en un résultat contenu dans un appel émotionnel approprié, notre système physique et énergétique s'active pour attirer comme un aimant toutes les informations et opportunités pouvant aider à la réalisation rapide de l'objectif : le système se met à la recherche des informations essentielles au succès. Ainsi, lorsque vous définissez votre objectif et le traduisez en résultat et en émotions, vous montrez à votre système ce qui est réellement important. La pensée positive et le désir sincère sont deux mécanismes fondamentaux qui nous permettent de capter les énergies de la nature.


On peut croire que la pensée positive nécessite que nous vibrions dans la longueur d'onde du bonheur. Dans nos travaux, la manipulation des énergies fonctionne autrement : les visualisations positives gagnent en efficacité quand nous sommes dans la longueur d'onde de la neutralité, sur le "chemin du milieu". On peut comprendre cet aspect de la façon suivante : cette longueur d'onde ne se laisse pas influencer par les émotions. Celles-ci sont transmutées pour servir de combustible aux énergies vibrationnelles et Kundalini. C'est dans cette vibration que les énergies sont les plus accélérées et donc que notre système a le plus de pouvoir créateur.


C’est par notre action et nos mentalisations positives que nos rêves reviennent réalité. Les mentalisations sont un outil très puissant pour canaliser les énergies. Elles sont aussi une invitation à "faire notre part du travail", c’est-à-dire à nous considérer comme les Dieux Créateurs de notre vie, sans attendre que le cadeau tombe du ciel sans effort. Les cadeaux viennent lorsque notre volonté, notre désir, nos actions et nos mentalisations s’unissent pour construire le monde dont nous rêvons.