Nuages d'ultras (orbs) à la pyramide maya de
Chichen Itza - Kul Kul Kan
Chichen Itza - Kul Kul Kan
Notre blog a fait une pause de plusieurs mois, mais nous avons continué à recevoir de nombreux emails de lecteurs désireux d’échanger des impressions ou de poser des questions. Une question revient fréquemment et mérite une réponse approfondie car elle touche à un aspect essentiel de nos travaux et de notre vision de la spiritualité. Beaucoup de gens se demandent quelle est la nature de nos travaux énergétiques et veulent avoir des précisions sur les intelligences avec qui nous sommes en communication.
Un des aspects de nos travaux passe par des conversations avec des partenaires d'autres dimensions. Certains ont une apparence physique proche de la nôtre, mais leur corps énergétique est plus développé que le nôtre. D’autres, ne sont qu’énergie ; c’est le cas des ultradimensionnels (cf. photo). Les consciences sont présentes pour guider nos travaux, mais ne nous influencent jamais dans nos décisions personnelles. Notre libre-arbitre est toujours respecté.
Comme une énergie plus accélérée s'impose toujours sur une énergie ralentie, on essaie de développer l'accélération des fréquences pour éviter de se faire manipuler par d'autres énergies. En parallèle, on essaie de neutraliser les polarités énergétiques pour qu'on puisse annuler la bipolarité de la troisième dimension et interagir avec les dimensions supérieures.
Au-delà de la troisième dimension, il y a d'autres dimensions avec des fréquences différentes de vibration. Chaque dimension est divisée, comme la nôtre, en un plan physique et un plan astral. Les dimensionnels, les ultradimensionnels, angélicaux, énergétiques viennent des plans physiques d’autres dimensions par le biais des portails dimensionnels. Pour interagir avec d'autres dimensions, il est nécessaire d’accélérer la fréquence des ondes du cerveau.
Ces consciences d'autres dimensions ne se manifestent pas toujours et, très souvent, elles se contentent d’opérer des travaux énergétiques individuels ou collectifs. Les conversations avec elles ne sont pas un objectif. Ils servent à avoir des informations ou à être activé en vue de réaliser un projet, un compromis, une mission que nous nous sommes fixés nous-mêmes. Les informations transmises sont à 90% de nature pratique. Bien sûr, pour évoluer, nous avons besoin de travailler notre conscience et notre spiritualité. Mais, dans nos travaux, cette démarche est personnelle : elle est de la responsabilité de chaque individu. Chacun est son propre Dieu.
On insiste souvent sur le fait que les phénomènes dans nos travaux sont physiques, c’est-à-dire qu’ils peuvent être vus ou entendus par d’autres personnes aussi bien que filmés ou enregistrés. Cela n’empêche pas certaines perceptions plus personnelles que tout le monde peut ressentir lorsqu’il s’engage dans un chemin spirituel. Mais, justement, cet aspect est personnel. C’est à chacun de gérer son évolution spirituelle. Il est fondamental que chacun apprenne à marcher avec ses propres jambes, en faisant de manière consciente ses choix, en ayant ses opinions et sa propre perception amplifiée de la vie. Nous avons besoin de développer notre capacité de discerner les choses, les gens et les situations. Certains feront ce chemin plutôt seuls et d’autres en groupes. Cependant, les travaux en groupe requièrent une évolution personnelle.
Les travaux en groupe sont des défis personnels perpétuels. Les projets de groupe sont une occasion de tester l’évolution spirituelle et de confronter les idées à une réalité physique. On peut facilement se décréter spirituel et connaître beaucoup de philosophies, mais c’est dans la gestion quotidienne des choses que l’on connaît vraiment sa capacité à respecter les autres, à nuancer, à accepter, à sublimer, à combattre l'égo et à aimer.
L’idée est donc de parvenir à introduire la spiritualité dans la vie pratique de la troisième dimension. La spiritualité est souvent vue comme une pratique qui nécessite le calme, un environnement paisible, une harmonie entre les gens, etc. Si cela était absolument vrai, comment pourrait-on être spirituel plus que les quelques jours par an où toutes ces conditions sont réunies ? De même, pourquoi vouloir toujours opposer la spiritualité à la vie matérielle ? L’un doit-il exclure l’autre ? N’est-il pas possible au contraire d’introduire de la spiritualité dans la vie matérielle pour contribuer à élever le plan vibratoire de la matière ? Ces remarques sont liées à la question de l’accélération de la fréquence vibratoire.
Que signifie faire des travaux d’accélération de l’énergie ? Cela signifie chercher à atteindre une énergie de vibration forte, neutre, pure, respectueuse et enfantine. Cela revient à voir le sacré dans tout, sans prendre les choses au sérieux. Cela peut passer par la musique, par le rire, par l’activité physique, par une gymnastique cérébrale pour rendre notre capacité mentale toujours plus agile, rapide et légère. La pensée positive est une dimension de cette démarche, mais elle passe aussi beaucoup par des visualisations d’images de joie, d’un vœu futur que l’on perçoit comme faisant déjà partie de notre réalité présente.
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