Dimanche dernier, lors de notre rendez-vous de travaux énergétiques, nous avons demandé aux personnes présentes ce que le terme "énergie" signifie pour elles. Parmi toutes les réactions et points de vue, trois ont particulièrement retenu mon attention. Le premier exprime l’idée que l’énergie est synonyme de vitalité. Le second insiste sur le caractère polysémique de l’expression : en gros, on peut y mettre un peu tout. Ceci nous conduit au troisième point faisant remarquer que le terme "énergie" est aujourd’hui employé par toutes sortes de groupes spirituels ou sectaires pour manipuler les gens en abusant de leur bonne foi ou de leur détresse.
Ce genre d’abus est généralement lié au fait que la plupart des personnes n’ont pas encore développé de facultés pour décoder les énergies, pour les capter, les interpréter et les analyser. Si l’énergie reste abstraite, on dépend de l’autre pour la comprendre, tel l’analphabète qui dépend des autres pour la lecture. Même si le "décodeur-transmetteur" n’a que de bonnes intentions, la transmission des informations est toujours sujette à une mauvaise interprétation qui fausse la compréhension.
Celui qui maîtrise les énergies agit à la manière d’un sportif : il s’entraine, essaie de progresser et de découvrir de quoi il est capable un peu plus chaque jour. Comme pour les sportifs, chacun excelle dans un domaine particulier. C’est en s’écoutant, en restant attentif aux signaux perçus qu’il apprend à capter les énergies. Selon cette vision, les dons ne sont pas des acquis : ils se travaillent et s’acquièrent. Nous sommes des êtres en constante évolution…
Certains commenceront à voir des lumières (les yeux ouverts), à entendre des sons ou des voix, à provoquer des événements par la force de leur volonté, d’autres développeront des capacités d’intuition, une magie de communication, une faculté de transmettre ou de sentir les énergies par les mains, etc. Ces évolutions de la perception extra-sensorielle sont quelques exemples de concrétisation de l’énergie. Tout cela reste très subjectif car ces facultés sont personnelles et il n’est pas certains que d’autres capteront les mêmes choses au même moment. En revanche, ce ne sont pas des rêveries modelées par l’inconscient. Ces sens sont des capacités mentales qui se font les yeux ouverts, à une fréquence cérébrale accélérée, sans avoir besoin de rentrer dans un état d’esprit particulier.
Tous ces phénomènes ne sont pas des fins mais des moyens : c'est leur impact énergétique qui importe et non leur occurrence. L'énergie ne sert ni à impressionner ni à convaincre, mais à transmettre et à communiquer (Alan a expliqué ça ici).
Compte-tenu de ce qui vient d’être dit, la confiance en soi est une condition indispensable pour que l’énergie devienne quelque chose de concret. Cela signifie que l’apprentissage de la maîtrise des énergies passe par une capacité à être autonome dans ses choix, dans ses analyses et dans ses actions. Nous sommes nos propres Dieux. Bien sûr, cela ne signifie surtout pas qu’il faille rompre tous les échanges pour vivre en autarcie. Cette autonomie n’empêche pas non plus une communication avec des intelligences d'autres mondes ayant un niveau de conscience plus élevé. Mais, comme nous l’avons déjà expliqué, si elles sont évoluées les consciences de dimensions supérieures respectent notre libre-arbitre : elles ne donnent pas d’ordres et n’influencent pas nos décisions en veillant à rester toujours neutres. Leur présence n’a pas pour objectif de nous aider à résoudre des problèmes personnels, mais à nous transmettre des informations pratiques dont nous avons besoin dans la réalisation de notre mission.
Le travail de la conscience est un effort qui ne dépend que de nous. C’est là le plus grand des défis car il n’y a aucun acquis dans ce domaine : à chaque instant, il faut veiller à garder une attitude respectueuse et neutre, à contrôler l’égo et à maîtriser ses émotions pour rester dans la zone de tolérance.
Celui qui maîtrise les énergies agit à la manière d’un sportif : il s’entraine, essaie de progresser et de découvrir de quoi il est capable un peu plus chaque jour. Comme pour les sportifs, chacun excelle dans un domaine particulier. C’est en s’écoutant, en restant attentif aux signaux perçus qu’il apprend à capter les énergies. Selon cette vision, les dons ne sont pas des acquis : ils se travaillent et s’acquièrent. Nous sommes des êtres en constante évolution…
Certains commenceront à voir des lumières (les yeux ouverts), à entendre des sons ou des voix, à provoquer des événements par la force de leur volonté, d’autres développeront des capacités d’intuition, une magie de communication, une faculté de transmettre ou de sentir les énergies par les mains, etc. Ces évolutions de la perception extra-sensorielle sont quelques exemples de concrétisation de l’énergie. Tout cela reste très subjectif car ces facultés sont personnelles et il n’est pas certains que d’autres capteront les mêmes choses au même moment. En revanche, ce ne sont pas des rêveries modelées par l’inconscient. Ces sens sont des capacités mentales qui se font les yeux ouverts, à une fréquence cérébrale accélérée, sans avoir besoin de rentrer dans un état d’esprit particulier.
Tous ces phénomènes ne sont pas des fins mais des moyens : c'est leur impact énergétique qui importe et non leur occurrence. L'énergie ne sert ni à impressionner ni à convaincre, mais à transmettre et à communiquer (Alan a expliqué ça ici).
Compte-tenu de ce qui vient d’être dit, la confiance en soi est une condition indispensable pour que l’énergie devienne quelque chose de concret. Cela signifie que l’apprentissage de la maîtrise des énergies passe par une capacité à être autonome dans ses choix, dans ses analyses et dans ses actions. Nous sommes nos propres Dieux. Bien sûr, cela ne signifie surtout pas qu’il faille rompre tous les échanges pour vivre en autarcie. Cette autonomie n’empêche pas non plus une communication avec des intelligences d'autres mondes ayant un niveau de conscience plus élevé. Mais, comme nous l’avons déjà expliqué, si elles sont évoluées les consciences de dimensions supérieures respectent notre libre-arbitre : elles ne donnent pas d’ordres et n’influencent pas nos décisions en veillant à rester toujours neutres. Leur présence n’a pas pour objectif de nous aider à résoudre des problèmes personnels, mais à nous transmettre des informations pratiques dont nous avons besoin dans la réalisation de notre mission.
Le travail de la conscience est un effort qui ne dépend que de nous. C’est là le plus grand des défis car il n’y a aucun acquis dans ce domaine : à chaque instant, il faut veiller à garder une attitude respectueuse et neutre, à contrôler l’égo et à maîtriser ses émotions pour rester dans la zone de tolérance.